vendredi 28 novembre 2014

Joyeux Anniversaire, Aude!




J comme... Joyeux anniversaire!
Comme vous vous en rappelez peut-être, nous étions donc au Cambodge au début du mois d'octobre, et nous avions fait en sorte que les dates concordent avec l'anniversaire de Aude. Avec un mois et demi de retard, voilà enfin le récit de cette fabuleuse journée.



Un an très précisément après avoir nourri des écureuils dans un parc de Glasgow en évitant les gouttes et en se demandant comment il pouvait faire aussi froid pour un 5 octobre, nous voilà à Siemp Reap, climat tropical, mousson abondante et 25 degrés à l'ombre.
Après nos exploits de la veille, nous ne sentions plus trop en mesure d'assumer une nouvelle journée à dos de vélo trop petit/trop grand. Hugo vous dira que c'est Aude qui n'a pas voulu, mais c'est faux. Après un copieux petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre à l'hôtel et un enthousiasme prononcé à la lecture de tous les mails d'anniversaire qui sont déjà arrivés, nous revoilà sur la route, dans un tuktuk cette fois qui va nous balader toute la journée dans les temples que nous voulons (oui, comme des colons, arrêtez de nous faire culpabiliser). C'est le moyen de déplacement le plus utilisé par les touristes sur le site, et nous devons reconnaître que c'est pratique (moins envie de tomber dans les pommes à la vue des escaliers à grimper après être descendu de vélo).
Pour commencer cette jolie journée, nous décidons d'aller voir le Ta Prohm, connu pour son arbre à la racine géante mais aussi pour avoir été le lieu de tournage du film Tomb Raider avec Angelina Jolie. Ils ont même appelé un cocktail de son nom dans un bar connu de la ville. Un peu comme nous avec la corniche Kennedy, en somme.

Petite dédicace féminine : Béné, je savais que tu penserais tout de suite à Tomb Raider en voyant les photos. Hommage à nos années collège et à la Playstation 2. 






Le Ta Prohm est surtout connu pour sa végétation (très) abondante et sa nature impressionnante : la plupart des constructions sont quasiment détruites et des racines sortent d'un peu partout. Il représente un peu la vision parfaite de ce que le temps peut faire à l'oeuvre humaine, encore plus que pour les autres temples, qui sont parfois remarquablement bien conservés.




Les gens se prennent en photo devant l'arbre.
Alors nous, on prend les gens qui se prennent en photo.
Après le Ta Prohm, nous visitons d'autres temples dont le Banteay Srei, le site sur lequel André Malraux a été arrêté pour actes de vandalisme et pillages et qui nous a d'abord fait penser à un immense sanctuaire, avec ses lions gardiens et ses hautes tours. En tout cas, c'était bien joli, et peut-être même que nous lirons la Condition Humaine, histoire de voir à quoi ressemble l'esprit d'un aventurier venu cisailler des têtes de lions dans un temple au Cambodge.
Nous vous laissons donc avec quelques photos de la suite (et fin) de notre journée. Comme nous avons un peu traîné dans les temples, il nous semble que nous en avons visité seulement trois avant le coucher du soleil (qui était magnifique à observer sur le site).
Le soir, c'était restaurant français tenu par un expat', carpaccio et parmesan, viande bien cuisinée. Bref, le bonheur! (au début, on a pensé à un restaurant khmer, et puis on a lu que le meilleur restau de la ville était français. Alors nous sommes devenus patriotes).







Angkor Vat au coucher de soleil!

Angkor Vat au coucher de soleil (2)


Voilà pour cette journée d'anniversaire, pleine de jolis souvenirs à emporter avec nous, même s'il nous reste encore pleins de choses à raconter, autant au Cambodge que dans notre chère Corée. D'ailleurs, le prochain article sera sûrement un article coréen, parce-qu'on a de cool photos à partager, et parce-que mine de rien, le temps presse!

Photo intelligente à Abaccus, restaurant français de Siem Reap. 





mercredi 19 novembre 2014

Il était une fois au Cambodge part 3


    Au soir de cette première journée cambodgienne nous montons dans un bus direction Siem Reap et les environs d'Angkor. Le trajet prend de 5 à 7 heures alors le faire de nuit semblait une assez bonne idée. Il y a des lits superposé dans le bus, nous montons, et nous endormons immédiatement. Et a 6h du matin nous voilà a Siem Reap, nous partons immédiatement après un très bon petit déjeuner à l'hôtel; pour visiter les temples d'Angkor.


Le café, le café!


    Nous récupérons donc des vélos à l'hôtel pour commencer notre exploration. Aude n'est pas montée sur un vélo depuis cinq ou six ans et Hugo pas beaucoup moins. On dit souvent, "c'est comme le vélo ça ne s'oublie pas". Curieusement, dans le cas de Aude, si.
    Note de la concernée : Bon, à la limite, se remettre sur un vélo quand on a n'a pas beaucoup de talent, soit. MAIS, remonter sur un vélo (mon dieu comment ça marche), à 7h du matin (ah... oui, c'est comme ça qu'on tourne), dans une ville toute boueuse pleine de trous (comment on freine déjà??), avec pleins de voitures qui vous frôlent (droite, reste droite Aude, oublie pas que tes parents te racontent toujours que tu n'as jamais réussi à aller droit), et des scooters qui arrivent en sens inverse, c'est pas du gâteau. 


    Nous traversons donc la ville, et arrivons à notre premier temple (en un seul morceau), le fameux Angkor Vat, le plus grand temple bouddhiste du monde,
La sensation est plus ou moins indescriptible quand nous garons nos vélos à l'entrée. Un immense bassin, une porte d'entrée gigantesque, et des statues de lions qui nous accueillent. Après 9h d'avion, 7h de bus, une virée douloureuse sur des deux roues, nous y sommes. Le site d'Angkor, dont Hugo parle depuis si longtemps, dont on a vu des tas de photos et pas mal de reportages. Nous nous sentons un peu comme Tomb Raider, beaucoup comme Indiana Jones. Nous sommes contents.









    La visite se passe donc sans encombres, nous sommes accompagnés d'un guide qui s'est proposé de nous raconter l'histoire du temple et ce qu'il représente. Après avoir grimpé au sommet d'une des tours pour apprécier la vue, nous décidons de quitter Angkor Vat, et nous reprenons la route pour se rendre sur le deuxième site, Angkor Thom, un des grands ouvrages du règne du roi Jayavarman VII.
    Au fur et à mesure que nous avançons, nous sommes de plus en plus conquis, et la ballade est hors du commun. Tout autour de nous, la jungle, l'eau, et les ruines. Hugo, qui commence à développer une curieuse ressemblance avec Harrison Ford, veut s'éloigner un peu des hordes de touristes qui nous barrent la route (les japonais, surtout les japonais). Nous laissons donc les vélos à l'entrée du site d'Angkor Thom et partons nous enfoncer dans la forêt environnante. Nous croisons un sympathique varan qui garde ses oeufs dans un arbre (c'était plutôt cool), de la végétation inconnue et abondante, des bruits sympas... Bref, tout pour être heureux (et dépaysés!).

    Bon, il reste qu'il est midi et que nos estomacs crient famine (nous sommes levés depuis 6h du mat') Alors nous cherchons le premier resto alentour, une cabane de poutre et de paille, devant laquelle sont disposées trois tables, entour, en l'occurrence une petite cabane de bois et de paille. Une famille au grand complet habitait juste à coté et faisait le service, et un chaton s'entêtait à monter sur la table, devant la mère-serveuse qui le récupérait systématiquement. Ils nous signalent finalement que l'on va se prendre la mousson dans la gueule, on leur achète donc deuxK-Way Sacs en plastique avec trois trous on repart, on fait 300 mètre et le ciel devient vraiment menaçant, on se planque dans un abris et on regarde les trombes d'eau labourer tout ce qui dépasse. On finit même par se planquer sur une table tellement l'eau s'engouffre partout!


Angkor Thom sous la mousson.


Nous garons nos vélos alors que les nuages s'en vont. Juste avant de passer le pont de la porte nord d'Angkor Thom, où un très grand nombre de statues ornent chacun des cotés nous décidons de faire une petite ballade sur la muraille du site, il faudrait des heures pour en faire le tour à pied. Nous avons bien fait car de véritables merveilles allaient pimenter notre promenade, au programme, un reptile, n'étant pas biologiste il s'apparentait à un gros lézard bleu à taches rouges.


Angkor Thom sans la mousson, bonus Ot en Sac! Notons le camaïeux de tons Rubis..(Prenez ça les blogs mode)


Le reptile couvait ses oeufs!







Les Visages du Ta-Promh




Le Ta Promh 


Hubogoss! 

Bonus Aude qui n'en peut plus, mais qui garde le moral.



Après cette journée de rève, la découverte de notre chambre d'hôtel fût la goute d'oeuf qui fît déborder la poule aux os d'or avant de l'avoir tuée;
Suite avec terrasse, vue sur la piscine, le tout très très bien décoré, nous nous sommes donc effondré sur le lit après un copieux curry!

Sur ce, on vous laisse, et on s'excuse du manque de nouvelles : on a encore pleins de choses à raconter, mais on manque de temps, et il passe vite! Entre les cours, les visites marseillaises du début du mois, les heures de sommeil à rattraper (ou juste à attraper....) on a l'impression de se faire engloutir, surtout qu'on rentre dans pas si longtemps que ça. Mais promis, on vous dira tout!



mardi 21 octobre 2014

Il était une fois au Cambodge Part 2

Vendredi 3 octobre, réveil à 10h du matin et mal de tête. Le téléphone sonne et la lumière entre dans la chambre. Il fait déjà plus de 25 degrés et l'agitation nous parvient de la fenêtre. Une minute pour nous rappeler où nous sommes et... Ouille! Décidément, la gueule de bois quand on arrive dans un pays, ça semble devenir une habitude. Après le soju à Séoul, la bière cambodgienne ne nous a pas épargnés (enfin... surtout Aude. Soyons honnêtes).
Après un rapide tour par le supermarché du coin, nous voilà sur le toit aménagé en terrasse-bar de notre hôtel, un grand mug de café fumant sous le nez. Les hauts-parleurs crachent de la bonne soupe américaine (bah oui, ça nous a fait bizarre : en Corée, ils écoutent presque que du national) et nous, on a toujours mal à la tête. On nous apporte un bon petit déjeuner, et Hugo reçoit en prime un croissant avec de la moisissure dessus. Il le signale, et en reçoit un autre, un peu moins moisi. Bon, c'est déjà ça. Et puis on a eu un peu de pain. DU PAIN. Alors...
Bon mis à part ça, le toit est vraiment sympa (on voudrait pas vous faire peur non plus). Les fauteuils sont confortables et tout est très bien aménagé, le jus de fruits est excellent et nous, on est contents.

Promenade sur le Quai Sisowath

Ca c'est du lampadaire!


Alors... Alors voilà, après ce petit intermède sympa, qui annonce joliment les vacances, nous prenons nos sacs à dos et partons pour le Palais Royal. Nous connaissons donc notre première expérience en tuktuk au milieu du trafic -ou plutôt du chaos- où aucune règle de conduite ne semble avoir cours. Hugo, plutôt enthousiasmé par l'expérience, regarde l'animation qui règne dans les rues, pendant qu'Aude, plutôt poule-mouillée, s'accroche à son bras. A peine descendus, nous sommes de nouveau abordés par des tuktuks qui veulent déjà  nous reconduire ailleurs. Nous apprenons en même temps que le Palais Royal n'est pas encore ouvert, ce qui nous laisse une bonne heure pour nous balader, ce que nous faisons avec plaisir, bien que la chaleur nous déboussole un peu (Séoul, c'est pas Glasgow, mais quand même...). Nous faisons ainsi connaissance avec le quai Sisowath, havre de paix des touristes, qui fait face au fleuve.
Des rouleaux de printemps et des jus de fruits frais plus tard (on a tenu à une moyenne de 2 par jour à peu près... c'était beaucoup trop bon), nous avons enfin pu entrer dans le Palais. Nous ne mentionnerons cependant pas les habits que Aude a dû acheter à l'entrée afin de se couvrir les épaules et les jambes.

Ou peut-être que si...

Au milieu des touristes de toutes nationalités et des moins bouddhistes (la classe, on sait), nous avons pu déambuler dans les merveilleux jardins de ce palais qui ne ressemblait à rien que nous avions déjà connu. On vous laisse apprécier.


Le bonus "différences culturelle"..

samedi 18 octobre 2014

I comme Il était une fois au Cambodge Part1

Alors voilà, nous sommes rentrés avant hier de ce très beau pays qu'est le Cambodge, nous nous attelons donc au récit de ce formidable voyage plein d'adjectifs - qualificatifs et élogieux!
Nous quittons la Corée sous un ciel gris!

C'est donc le Jeudi 2 Octobre que nous sommes partis de l'aéroport pour Phnom Penh via Shanghai, en tout sept heures dont 4 en vol, via China Eastern Airlines. L’escale à l'aéroport de Shanghai Pudong fût en elle même une attraction, après l'aéroport de Séoul Incheon, classé meilleur aéroport du monde, (et oui il existe des gens dont le métier consiste à classer des aéroports, ce qui semble un peu concon ). Nous descendons de notre avion et montons dans un bus qui nous laisse devant une porte qui conduit à une succession de couloirs blancs aux murs de plastique éclairés par des rangées de néons. Pas de vitre, pas de mur à proprement parler, des portes un peu partout semblent condamnées, ou sont tout du moins entravées par des rubans rouges. Nous prenons un escalator, en panne, et la succession de couloir finit par laisser place à un immense hall tout en longueur.

 Maintenant on pitch les articles! 
Pourquoi Aude se trouve-t-elle sur un fauteuil roulant? 
 S'est-elle fait marcher sur le pied par une éléphant rose et daltonien ?
A-t'il fallu la rapatrier d'urgence après qu'elle a sauté sur une mauvaise mine ? 

Aude à l'aéroport de Shangaï mais au retour, le pourquoi du comment, dans la suite de l'article.
 Sur le coté droit, une baie vitrée qui s'avance sur le tarmac, à gauche, une immense armature en acier balancée de câbles et de contrepoids. Au milieu des boutiques souvenirs sur le thème du bambou, du Panda, des tabacs et des bureaux de change patrouillaient des policiers chinois plus nombreux que les touristes. Les officiers portaient des uniformes noirs poussiéreux aux pantalons moulants sur les mollets et larges au niveau des cuisses sur lesquelles se baladaient d'énormes matraques. Nous nous sommes donc baladés un moment dans cette étrange atmosphère avant d'assister à la victoire de la Corée sur la Chine en Volley féminin au Jeux Asiatiques d'Incheon (ville et île où se trouve donc l'aéroport de Séoul).

Hugo avec une bière et un chaton.
Nous avons finalement embarqué pour notre destination, le Cambodge, où nous avons atterri sans encombre trois heures plus tard. La foire d'empoigne pour faire les visas, puis nous sommes sortis avec joie dans l'obscurité moite de la nuit Cambodgienne. Déjà le dépaysement était radical, les routes droites et larges faisaient place au bitume couvert de poussière ocre, les maisons à un étage se substituent aux immeubles Samsung et les gros 4x4 aux petites hyundaï. Le coût de la vie aussi, ici on paie en dollars, en euros, et même en pounds, les riels sont utiles pour les toutes petites transactions et au cours du voyage, aucun distributeur ne nous en a donné, 6 $ le taxi jusqu'à l'hotel, 12$ une chambre pour deux très très correcte. On est donc sorti dans la rue de l'hotel, assez animée malgré l'heure, dans les coins touristiques, les chauffeurs de Tuk-tuk, les vendeurs ambulants hèlent tous les occidentaux, européens, américains ou asiatiques. Nous continuons notre ballade jusqu'au bout de la rue ou se trouve un quai, quelques amoureux par ci par là, des mendiants et des marchands qui passent. Nous buvons un coup dans un bar-salon de coiffure qui fait aussi, comme nous le comprendront bientôt, bar à gigolo. Nous prenons donc un pichet de bière, et discutons avec un anglais, visiblement sous l'effet d'un produit ramollissant et accompagné par une prostituée qui ne semble guère l'intéresser. Elle même était accompagné par un chaton, que les chiens du bar, au nombre de trois, avaient pris en grippe, il fallait donc tenir le chat à hauteur respectable afin qu'il ne soit pas attaqué par les chiens. Puis la bière a fait son effet, Aude est devenue toute rouge, on est rentrés à l’hôtel et elle s'est effondrée sur le lit. Voilà en à peine trois heures le Cambodge promettait déjà bien des aventures!

Pourquoi Aude est-elle rentrée en fauteuil roulant? Les temples d'Angkor et un musée Grévin Cambodgien à venir!

La suite bientôt! Promis!

mardi 16 septembre 2014

H comme Hugo (Aude y tient)



H comme Hugo, non pas qu'il y ait spécialement beaucoup de choses à dire à propos de ce dernier mais, tel le renard masqué (le Zorro, pour les moins hispanophones), il appose son initiale à chaque fois que l'occasion se présente. Avec la reprise du travail, (on en entend déjà certains rigoler... mais oui, mais oui!) nous avons un peu moins d'occasions d'aller explorer la ville. Mais tout de même, nous faisons pas mal de choses!

Plus de la moitié des coréens sont chrétiens.
 Nous sommes donc allés à Séoul Forest, qui est, je pense, la seule forêt au monde à bénéficier d'un centre commercial, en fait les noms sont parfois trompeur et Seoul Forest, (parfois orthographié Seoul Forêt) est en réalité un parc, et Séoul Grand Park, est quant à lui, une forêt. Pour en revenir au parc, c'est vraiment un endroit sympathique, oeuvres d'art psychédéliques à base de miroir déformants, petites cascades aménagées, nénuphars géants, tandem et équipements sportifs empiètent les uns sur les autres et quelques personnes font la siestes sur les tables de pic-nique (oui sur les tables mais là bas, il n'y a qu'une table carrée qui sort à 30 cm su sol et sur laquelle l'on poses sa nappe de pic-nique, qui sert d'ailleurs autant de drap que de nappe.   

 Ewha Womens' University, dont nous vous épargnerons la traduction, fût un des moment forts de la semaine, avec sa colline artificielle coupée en deux, ses bâtiments début du siècle dernier, et son jardin digne de Beatrix Potter. En y arrivant, Aude était en pâmoison devant un quartier dévoué entièrement aux étudiantes amatrices de chaussures, de crèmes, de vêtements, de petits cafés sympas, et de stand de nourriture de toutes les couleurs. (Je ne me prononcerai pas quant a la corrélation entre ce que peut être la demande d'un tel quartier, et l'offre que l'on y trouve) Ewha semblait vraiment être une super université, un cadre de rêve, au vu du télescope qu'ils possèdent, des équipements et un enseignement avec un budget conséquent.
Une réponse maligne au phallicisme de toutes les tours de Séoul, la colline fendue d'Ewha.

Aude recevant l'illumination d'un Lens Flare parabolique.


Bonjour la pollution lumineuse!
 Et finalement dimanche, au vu du beau temps nous sommes retournés à Seoul Grand Park (Si vous avez suivi, vous savez donc que c'est une forêt!) Emprunter le téléphérique et se balader dans le Zoo et alentours! Dans le coin, un parc d'attraction, que l'on voit sur la photo dessous, une fac et un musée d'art contemporain, il y en a donc pour tous les goûts..


 Le soir nous avons dégusté un Samgyeopsal, c'est à dire d'épaisses tranches de bacon grillées sur une plaque en fonte,  elle même au milieu de la table. On en découpe un morceau, le pose dans une feuille de salade (ou de sésame mais c'est pas terrible) on agrémente le tout de l'un des trois différents kimchis posés sur la table, de céleri en sauce au kiwi, d'ail, d'oignon, de radis cuit, de champignons, de Ssamjang (sauce épaisse à base de soja, riz et piment fermenté) et encore d'autres choses dont on ne sait pas encore ce qu'elles sont. Et honnêtement, c'est la meilleure façon de manger du porc cuit, pas seulement de Corée mais de tout ce qu'il nous ait été donné de goûter. Sinon niveau bouffe, Aude se nourrit principalement de Yaourt Glacé, de Gimbap, et de Bulgogi (pizza au bulgogi, riz au bulgogi, boulettes de bulgogi, bulgogi pur) et Hugo de Chapsal (gateaux sucrés de haricot rouges enveloppés d'une épaisse couche de pâte de riz sucrée et parfumée, au japon on appelle ça des Daïfuku), de Tofu en sauce sésame, et de raviolis au riz et légumes.
Nous dans un café sympa..


Voilà on continue nos aventures.. D'ici quelques semaines nous partons au Cambodge pour fêter l'anniv de Aude, découvrir les temples Khmers, les magnifiques plages Cambodgiennes, la vie à Phnom Penh et, toujours manger de nouvelles choses!